Sans forcément chercher à combiner les trois, chacun suffira à la fête et procurera le sentiment recherché d’un moment « spécial ».
Muscat du Cap corse No. 655, millésime 2016 (Domaine Marengo) :
Il faut paraît-il deux pieds de vigne pour produire les 50cl de chaque bouteille. Oui, le format est particulier, la bouteille mystérieuse, le nom énigmatique, mais tout s’illumine à la première gorgée avec un feu d’artifice d’arômes et de saveurs, où la fraîcheur et l’acidité se faufilent malicieusement à travers le sucre.
Oui c’est un vin, un vrai vin et pas uniquement de dessert – même s’il aimera un fiadone ou une brioche aux oranges confites. Essayez-le en apéritif, et même sur un repas complet. Le premier verre est un bonheur, les suivants un plaisir.
Sauce Financière (Orto) :
une préparation à base de blanquette de veau, avec une pointe de vin jaune, des quenelles et du blanc de volaille, en grand pot 580ml. Réchauffez le pot au bain-marie ou au micro-ondes et garnissez généreusement vos feuilletés préalablement passés au four, pour de spectaculaires bouchées à la reine.
Vous pouvez aussi utiliser cette sauce avec des pâtes, ou des pommes de terre vapeur. Rien ne vous empêche d’ajouter un élément supplémentaire pour un plat d’exception : des écrevisses ou des langoustines juste décortiquées, des copeaux de foie gras, une pomme de ris de veau rissolée…
Macarons (Anne Marchetti) :
On ne présente plus la « Biscuiterie d’Exception » de la pâtissière en tablier et fichu noir. Et encore moins ses macarons aux parfums improbables et irrésistibles. Vous êtes plutôt bergamote, figue noire, châtaigne ou miel d’arbousier ? Désolé on ne peut pas choisir, les boîtes proposent chacune un assortiment différent.
Soyons sérieux, ils se suffisent à eux-mêmes, joliment bariolés sur un plat de service. Mais si vous pouvez en mettre quelques-uns de côté, brisez-les en gros morceaux sur des glaces, en jouant selon l’humeur avec les couleurs et les parfums. Succès garanti.
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